L’épopée

Entrez dans l’Univers de Pekigniane et de ses Mondes parallèles. Dans une série de 8 romans d’aventures, le fantastique, la science-fiction, l’héroïque-fantaisie et l’achronie se mélangent pour transporter ailleurs.

Suivez dans ces récits d’aventures, l’épopée de ses héros, sur terre comme sur mer.

Histoire

Depuis l’anéantissement du Royaume des Titans, l’engloutissement de l’Atlantide, de l’Empire Mu, des Royaumes d’Hyperborée, d’Ys et des Amazones, Lilith la Maudite, l’immortelle, ne poursuit qu’un seul objectif : mourir après ses quatre milliards d’années d’existence.

Dans cet univers de délires, les Démons et les Archanges se livrent une guerre sans merci. Tous les moyens, même les plus inattendus, comme la sexualité et l’érotisme, jusqu’au sado-masochisme, sont mobilisés pour détruire Dieu et ses religions prônant les frustrations de notre monde.

Rien n’est comme on le croit.

  • Le Diable se serait-il fait passer pour Dieu? Aurait-il réussit à faire croire aux hommes qu’il est le gentil. Depuis l’origine de l’humanité, ses représentants se surpassent d’ignominie, avec ses Chevaliers, ses Archanges, ses anges et ses licornes.
  • Adar, le Roy des rois n’est pas loin de remporter la partie. Son objectif : supprimer tout plaisir et transformer chaque femme en une esclave sexuelle, dont on dispose à sa guise.
  • Les dragons et d’autres créatures mythiques se sont alliés aux Buns pour anéantir toute religion monothéiste. Les Buns possèdent deux armes terribles : le plaisir des sens dont ils usent et abusent, grâce à une drogue provoquant l’extase, sans compter d’autres pouvoirs paranormaux. Va-t-on assister à la dernière guerre de religions ?

 

Commentaire

Ces récits de voyages parfois initiatiques, tant sur terre que sur mer, verront-ils l’aboutissement d’un monde féérique et de l’utopie au travers d’une nouvelle société élevant, dans un monde de plaisirs, l’anarchiste, le saphisme, les hermaphrodites, et le sexomorphisme comme une valeur, ou le monde de frustration s’imposera-t-il. Dans ces délires oniriques, on abandonne le politiquement correct et la langue de bois, pour se plonger dans un monde de dérision et d’humour, où rien n’est sacré.

 

Mais, cette guerre déborde sur notre monde et des interférences apparaissent. Toutes les puissances, dont l’économie est fondée sur le pétrole, n’ont qu’une terreur. Les Buns fournissent à l’humanité un substitut du pétrole. Aucun État ne peut accepter la mise à disposition gratuite d’une source d’énergie inépuisable. Les économies risquent de s’effondrer. La coalition Américano-Arabe n’hésitera pas à employer l’arme nucléaire si elle ne peut pas s’approprier les réserves de Psah.

Rien n’y manque, les guerres et batailles côtoient les amours souvent saphiques de ce monde de femmes, surtout pas les trahisons les plus ignobles. Pour celles et ceux qui en ont assez des cultures d’hommes, machos, racistes et intolérants, la séduction de ce monde de femmes constitue une alternative.

La saga

 

Chaque ouvrage, peut se lire de façon autonome
et dans n’importe quel ordre.

 

Dans le premier volume « Cecily : l’Hermabun », incluant le « Guide de Pekigniane », symbole de l’innocence, on appréhende par un parcours initiatique, le monde des Buns.

Avec « Jézabel : La chute du Château-lumière », représentant on découvre un monde nouveau rempli de désespoir, de sadisme et de cruauté : celui des Chevaliers-lumière.

Dans le troisième, « Seth : le Bobun », laissant libre cours à la créativité la plus débridée, on explique comment s’est créé Pekigniane, par un homme qui ne savait pas s’il était un délégué syndical qui rêvait qu’il était un Dieu ou un Dieu qui rêvait qu’il était délégué syndical. Les règles s’élaborent au cours de ce récit.

Avec « Bumberry, l’Archibun », on développe l’ambition doublée de la veulerie la plus détestable. L’horreur et le sadisme atteignent un niveau inégalé.

Dans « Lidji : Celle qui a renoncé », les amours saphiques et romantiques, ainsi que l’aspect guerrier, accompagné de son lot de trahisons et d’héroïsme séduira bien des lecteurs.

« Lilith : la Maudite », c’est tant, Lilith, la Mabun, la compagne imposée du Bobun, âgée de quatre milliards d’années, que La salope de Lilith, telle que la nomme Adar le Roy des rois. L’érotisme et la séduction atteignent ici leur paroxysme.

Enfin avec « Lynn Carter », l’ethnologue, va-t-on assister à la destruction de l’humanité qui résiste à l’évolution ?